lundi 21 mars 2022

Toutes ces années d’études et après ???

 


Depuis le début de la krizsanitèr, j’ai entendu, ici et là, des proches (malheureusement trop lointains 😢) me dire à plusieurs reprises que leur médecin traitant (celui auquel la sécu a rattaché tout un chacun) refuse de les recevoir à leur cabinet. 

C’est ce qui est arrivé aujourd’hui même à ma 🍒, alors qu’elle présentait quelques symptômes d’une banale grippe, maladie le plus souvent bénigne et qui aurait disparu des radars depuis environ deux ans maintenant.

Dans la mesure où cette 🍒 exerce comme infirmière, il a fallu qu’elle se soumette au protocolidoine, bien que désagréable, du curage de fosses nasales, afin de mesurer son niveau de risque covidesque et, subséquemment, son aptitude au travail.

Le récit de sa mésaventure m’a d’abord laissée perplexe et puis m’a fait réfléchir jusqu’à la seconde où la vision de cette nouvelle facette de la réalité m’a littéralement sauté à la figure. 

Ainsi, depuis mars 2020, il faut se rendre à l’évidence qu’après neuf longues années d’études universitaires et une expérience professionnelle plus ou moins grande, les médecins généralistes ont, du jour au lendemain, dû renoncer aux examens cliniques et céder le pas aux cotons-tiges. Et curieusement, personne ou pas grand-monde ne s’en est plaint.


Fort heureusement, les tiges en plastique ont été bannies juste à temps, grâce à la loi sur la biodiversité. Ouf ! Pour nous, je ne sais pas mais la planète, elle, peut respirer.

Quant aux médecins, et bien, comment dire ? Toutes ces années d’études et après ???

11 commentaires:

Anonyme a dit…


Un coton-tige pourra être envoyé, comme pièce à conviction, dans l'affaire juficiaire qui s'ouvre sur le Covid19 :
https://www.francesoir.fr/opinions-entretiens/martine-baheux-mckinsey

Nadège Rivière a dit…

Struggle for goods fait grise mine lorsque j’essaye de coller ici un lien vers une publication de ce matin sur le site profession gendarme au sujet de l’histoire récente du système français de la maladie. Au point où nous en sommes, autant appeler les choses par leur nom.

Anonyme a dit…

Vous êtes peut-être ( ne soyons pas parano ) surveillée par BB.
Mettez un espace entre les textes et les " . " Au besoin enlevez l'identification http ou www et chaque lecteur fera un copiécollé du reste dans son moteur.

Nadège Rivière a dit…

https://reseauinternational.net/la-medecine-est-corrompue-par-la-domination-des-grandes-entreprises-pharmaceutiques-qui-suppriment-les-resultats-negatifs-et-dissimulent-les-effets-indesirables/

Nadège Rivière a dit…

Pas besoin d’être parano pour savoir que nous sommes tous plus ou moins surveillé à travers cet immense miroir aux alouettes que constitue l’internet. Sans faire de paranoïa, je pense plutôt que struggleforgoods filtre certaines url qu’il juge « inappropriées » ou non conformes aux règles de « la communauté ».
Plutôt que de faire de la gymnastique avec le libéllé des liens, je préfère compter sur le libre arbitre de mes lecteurs qui iront eux-mêmes ou pas, sur la piste du petit poucet, à l’aide des petits cailloux que j’ai laissés ici et là...

Paul-Emic a dit…

le rhumatologue que consulte mon épouse, lors de la première année recevait ses clients quasiment en tenue de cosmonaute, il s'est un peu calmé mais protégé derrière son plexiglas il n'admet que des réponses brèves à ses questions. Pas question de disséminer ses virus de sa propre initiative ; Masque obligatoire bien sûr.

Nadège Rivière a dit…

Après le couronnement des cotons-tige, je gage que si ce monde ne change pas de trajectoire, il n’y aura plus besoin de médecins. Entre les biocapteurs, la télé médecine et « mon espace santé »...

Anonyme a dit…

C'est leur projet. Ils l'ont nommé " transhumanisme ".
Dominique

Nadège Rivière a dit…

https://lesakerfrancophone.fr/medecine-et-totalitarisme-1-5

Nadège Rivière a dit…

La subjugation des médecins – Médecine et totalitarisme (2/5)
https://lesakerfrancophone.fr/la-subjugation-des-medecins-medecine-et-totalitarisme-2-5

Nadège Rivière a dit…

https://lesakerfrancophone.fr/le-controle-de-linformation-et-lomerta-medecine-et-totalitarisme-3-5