Avec la mise en œuvre rapide et brutale de la « société sans contact » (va falloir que je cherche si cette nouvelle entité est répertoriée au Registre du commerce et des sociétés...), et ayant une fois de plus rouvert puis reclos un compte sur Facebook, je renoue, une fois encore avec les lecteurs de ce blog.
Toutefois, avant de publier tout nouveau contenu, je me plie aux desiderata de Google Inc... concernant cette histoire de cookies... Non pas les gâteaux... les trucs que les entités numériques vous collent partout pour tracer votre avatar virtuel et collecter - pour les exploiter et les vendre, et que sais-je encore - vos « données personnelles »... Ça fait réfléchir hein, ce petit mot-là : donné, non ? Oui, nous sommes d’accord, ce sont tous des vendus !!! Brèfle !
Or donc, n’ayant plus blogué depuis Mathusalem, je publie ici le charabia imposé et voilà, voilà, c’est fait.
« Conformément à la législation européenne, vous devez informer les internautes des pays européens de l'utilisation qui est faite des cookies employés et des données collectées sur votre blog. Dans de nombreux cas, ces lois exigent également que vous obteniez l'autorisation des internautes.
Par mesure de courtoisie, nous avons ajouté sur votre blog une note d'information expliquant l'utilisation que fait Google de certains cookies Blogger et Google, y compris les cookies Google Analytics et AdSense, ainsi que d'autres données collectées par Google.
Vous êtes tenu de confirmer que ces informations concernent effectivement votre blog et qu'elles y apparaissent. Si vous utilisez d'autres cookies, notamment parce que vous avez ajouté des fonctionnalités tierces, il se peut que cette note d'information ne vous concerne pas. Si vous incluez les fonctions d'autres fournisseurs, il est possible que des informations supplémentaires soient collectées auprès de vos utilisateurs.
En savoir plus sur cette note d'information et vos responsabilités »
Ceci étant fait, je reprends dans peu de temps le fil de mes pensées.
Rappel :
Je sais que vous passez, souvent sans me voir, et si je ne vous vois pas, moi (mais Google et ses amis si), je sais que vous le faites...
Je vous salue donc en passant et n’ayez pas de laisser plus qu’une trace numérique, si le cœur vous en dit.
Je compte sur votre bonne humeur et votre civilité. Je n’insulte et ne menace personne donc j’en attends tout autant de votre part.
Bien à vous,
Nadège Rivière
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