En l’espace de quelques semaines, le nombre des abonnés à ce blog a été multiplié par deux et j’en suis toute esbaudie...
Il m’en faut peu me direz-vous mais c’est que tous les petits bonheurs sont bons à prendre et les occasions de se réjouir sont en ce moment, comment dire ? Précieuses ? Exceptionnelles ? Rares ? Certainement un peu des trois et c’est donc avec grand plaisir que je souhaite la bienvenue à Liz, Zéphir et Dominique. Merci pour l’intérêt que vous portez aux élucubrations et autres pensées décousues que m’inspire l’air de ce temps.
Je salue également les Zanonymes qui passent sur la pointe des pieds... peut-être des gastronomes amateurs de cuisine réunionnaise ?
En attendant que ma dernière réflexion mijote, je vous propose un peu de lecture...
426 pages, ça fait un bout ! Mais rien que pour cette phrase : « La seule réversibilité possible est d’arracher la prise noire en bas du mur. » çà vaut peut-être le coup. J’ai avancé un peu plus loin dans la lecture de ce recueil et même si, de temps à autres, il y a des réflexions qui me hérissent (vraiment) le poil, avec la permission de son auteur, je le partage ici.
https://everywherenobody.files.wordpress.com/2022/02/la-fenetre-des-perspectives.pdf
Allez, je m’arrête là pour aujourd’hui, l’asservissement est au bout du fil.
[photo d’illustration : graffiti saisi de nuit, un soir d’avril 2014, sur les décombres d’une bâtisse certainement démolie depuis, à Saint-Joseph, au sud du sud, île de la Réunion]
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