Comme beaucoup d’événements ces temps-ci, le désaveu des élus et des gouvernementeurs vaut aussi ailleurs qu’en France. Voir Canada, U.S.A, etcétéra. Décidément c’est une pandémie là aussi !
Ne pas perdre de vue que pour que les populations acceptent le gouvernement mondial, pourtant déjà en place depuis 1947, il est impératif de décrédibiliser chefs d’état et gouvernements d’une part mais également de neutraliser toute forme de démocratie et donc tout système électif.
Le « Deep State » qui n’est rien d’autre que (le producteur du thriller qui se joue) la caste qui détient le nerf de toute guerre depuis des lustres et des candélabres ne perdra pas trop de temps avant de virer toutes ces marionnettes et/ou de les livrer en pâture aux plus excités si toutefois ses plans ne rencontrent pas d’obstacles.
Le prochain acte a déjà commencé au Canada (décalage horaire ?) et les acteurs européens sont sur le point d’entrer en scène.
Cette hydre sans têtes apparentes fait figure de cheval de Troie. Est-ce là « la bête de l’événement » évoquée par McRon ? À bien la regarder, ça y ressemble sacrément ! « Il faut penser printemps... » Après un black winter peut-être ?
Nous voici en plein Lovecraft !
18 commentaires:
Qui croit avoir une place réservée dans l'Arche finira écharpé par des foules rendues folles de douleur. Pas de témoins, la fatalité aura bon dos
« Les crimes de l'extrême civilisation sont, certainement plus atroces que ceux de l'extrême barbarie par le fait de leur raffinement. »
Jules Barbey d'Aurevilly
c'était bien vu, malheureusement tout a déjà été dit et bien dit et pourtant nous avons souvent l'impression de travailler sur une page blanche.
La disqualification d’un certain nombre de valeurs au rang desquelles la transmission des traditions et des usages par le culte effréné du progrès n’est sans doute pas étrangère à ce sentiment de perte, d’oubli et d’éternel recommencement. Et puis, l’histoire est traîtresse, elle n’est écrite bien souvent que par les vainqueurs.
c'est vrai, pourtant on gagne toujours à se replonger dans les classiques. J'aime bien Thucydide pour décrypter les guerres impérialistes. Aux effets d'échelle près c'est toujours d'actualité.
Ce n’est donc pas un hasard si l’étude du grec, du latin et la lecture de tous ces classiques sont désormais considérées comme étant inutiles et dépassées.
Et pourtant !
Ça me fait penser aux sketches des Kouchner-Duhamel-Pulvar... de l’an dernier. Sans parler des bruits de couloir au sujet des mœurs sexuelles de notre cher Prez...
Epstein disparu fort opportunément aurait sûrement bien des choses à raconter...
Distraire, décrédibiliser, et diviser pour mieux régner : les 3D de l’hyDDDre
https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2022/02/04/le-demi-frere-de-justin-trudeau-denonce-larnaque-du-covid-et-le-complot-mondialiste-contre-lhumanite/
je ne lis ni le grec ni le latin, heureusement il existe d'excellentes traductions des classiques. Non bien sûr ce n'est pas un hasard si l'on veut acculturer le peuple. un peuple qui est capable de penser est toujours dangereux.
« Un peuple qui est capable de penser est toujours dangereux » ?
Les foules, comme l’a montré Gustave Lebon, sont incapables de penser. Ainsi en va-t-il du peuple.
Ce sont ceux qui manipulent les foules, tels des toréadors, qui sont à craindre.
Par contre, le vrai danger pour qui veut garder sa place c’est la vérité, l’honnêteté et la justice.
la foule est stupide comme l'a montré Lebon mais un peuple n'est pas une foule. Dans un peuple il y a des gens qui pensent qui raisonnent qui écrivent, qui créent alors que dans la foule il n'y a rien de tout ça. Leur but est justement de transformer les peuples en foule(s)
La foule ne pense pas en effet, elle réagit.
Le peuple que vous évoquez fait, lui, référence à un groupe humain qui a une histoire, un territoire et un présent communs. À l’heure du « village mondial » et après des années, voire des siècles d’ingénierie sociale destinée à segmenter, compartimenter, diviser, séparer et disloquer le peuple, il faut se rendre à l’évidence : le peuple est devenu si pléthorique qu’il n’existe plus. Il n’y a plus de peuple mais des miettes ou des morceaux de peuple qu’ « on » s’évertue à opposer : hommes/femmes, jeunes/vieux, public/privé, actifs employés/sans emploi... sans parler de la couleur de peau, de la religion, des mœurs sexuelles, des régimes alimentaires, des choix politiques... le peuple n’est plus qu’un « panel » de cons-sots-mateurs ou d’électeurs et ne peut plus produire de penseurs. Il dé-pense.
Quand il n’y a plus de peuple, comment et pourquoi penser ? Autant se fondre dans les foules folles pour ne pas voir que tout s’effondre autour de soi... ou se tenir au bord du monde et penser, à voix basse.
c'est bien tout le but de la manoeuvre, dissoudre le peuple dans la foule
Carte postale d’Athènes
http://www.greekcrisis.fr/2022/02/Fr0947.html
ils n'ont que quelques années d'avance sur nous
Quelques années pour les uns, pour d'autres ce ne sont que quelques mois. La différence ne tient qu’à l'écart de fortune.
Quoi qu’il en soit, oui, ce que vit la Grèce ressemble à l’avenir de l’Italie, la France, l’Espagne et bien d’autres pays de « l’Union »
« Les gouvernements désormais ouvertement ennemis des peuples
[...] Où que l’on observe nos appareils d’États, ceux-ci paraissent pourris. Et comme dit l’adage, c’est par la tête que pourrit le poisson! Quelle indécence d’aller donner nos leçons de bonne gestion et de bienséance aux gouvernements que nous traitions de ‘’républiques bananières’’, les nôtres construites sur les vols et les crimes de masse sont assurément pires! La question qui surgit alors est: jusqu’à quand une telle dérive sera-t-elle possible, avant que l’effondrement ne s’accélère et soit définitif au point de tous nous engloutir? »
https://www.mondialisation.ca/les-gouvernements-desormais-ouvertement-ennemis-des-peuples/5665445
les élites dressées contre leurs peuples c'est un concept qui a été formalisé il y a au moins 70 ans par Orwell même si le concept est certainement bien plus ancien.
Tout cela ne durera plus bien longtemps, nous arrivons au bout de la mascarade
Les masques tombent, en effet, mais le spectacle ne sera pas au goût de tout le monde.
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